mardi 29 novembre 2011

Road trip côte Est : plage et détente

La fin du mois d'octobre...

Poursuivis par des pluies torrentielles depuis le Daintree National Park, on essaie de fuir vers le sud engageant ainsi un nouveau road trip. C'est parti pour longer la côte Est, 1800 km de lieux paradisiaques jusqu'à Brisbane. On espère trouver du boulot sur la route... Mais pour l’instant le temps nous incite à filer plus loin.


A cause des trombes d'eau qui tombent sur nous on passe rapidement voir la plage de Port Douglas puis on continue.

Notre première véritable escale sera le village de « Town of 1770 ». Figurez-vous que c’est dans ce coin là que la flotte anglaise, et son fameux Capitaine Cook, débarqua en … devinez quand… 1770 ! Eh oui, du coup ils ne se sont pas foulés les neurones pour trouver un nom au patelin qui compte à peine une centaine d’habitants.


On a bien aimé, c’est l’endroit idéal pour des vacances paisibles, bercé par le son des vagues. Hélas on ne peut pas s’attarder... Il nous faut trouver du boulot et pour ça on se dirige vers la région agricole de Bundaberg !

Bundaberg est LA ville du rhum australien qui porte d’ailleurs le même nom. Et donc, le rhum est l’attraction principale de la ville si on aime payer son rhum plus cher qu’ailleurs à la distillerie (c’est bizarre hein ?). On y arrive le dimanche de la finale de la Coupe du Monde de Rugby. L’endroit nous semble parfait pour regarder le match dans une ambiance de folie ! Oh oui, youpi !

Grande déception à l’arrivée dans le centre-ville, il n’ya pas grand monde dans les rues. Soit ils sont tous à la plage, soit ils sont tous vieux et font la sieste ! Dans ces cas là il faut se rappeler qu’on est pas en France et qu’il n’y a pas un troquet avec terrasse tous les 200 mètres..même au bord de l’océan, même à Bundaberg.


Bref, après avoir acheté une bouteille de…devinez quoi… Bundaberg bien sûr, on a suivi la trace de deux hurluberlus maquillés en bleu-blanc-rouge qui chantonnait gaiement dans la rue. Et là, on a atterri dans LE pub de la ville où il y aurait assurément de l’ambiance vu le nombre imposant de jeunes frenchies qui avaient l’air tendus comme des cordes à linge.

Coup sifflet, c’est parti, la tension ne cessera d’augmenter dans le pub. On a bien chanté la Marseillaise et vaincu le match d’ambiance contre les quelques kiwis qui se trouvaient là.

Dommage qu’on ait perdu de si peu…mais on est rassurés de ne pas devoir se pointer en Nouvelle-Zélande en tant que Champion du Monde. Je crois qu’ils nous en auraient fait baver là-bas !! Et faut pas rigoler avec les Maoris hein ! On n’a pas envie de se faire akater dés l’aéroport !


A Bundaberg, nous avons aussi tenté notre chance pour travailler un peu. On a fait le tour de pas mal de fermes pour trouver du picking de melons (soi-disant la saison), de patates douces ou tout autre travail. Hélas, on ne devait pas se trouver (encore une fois, rappelez-vous Carnarvon) au bon moment au bon endroit. Tant pis, après 2 jours d’échecs, on décide de partir.

Hervey Bay est une jolie ville, juste à face de Fraser Island.Un petit tour à la plage, un super pique-nique au barbecue et nous voilà repartis.

Prochaine escale : Rainbow Beach. Nous y attendent « de spectaculaires falaises de sable « arc-en-ciel » » avec « 72 nuances de couleurs » ainsi qu’une dune de 120 mètres de hauteur. Arrivés là-bas, on a effectivement pu voir 72 nuances…de gris. Evidemmento !


Malgré le temps gris, on a fait une petite marche sur la plage et fait la connaissance d’un crabe super sympa. Après ça, nous avons grimpé sur la fameuse dune. Au sommet de la balade on arrive au beau milieu d’un bassin de sable impressionnant, avec à droite l’océan et sa ligne d’horizon vers l’infini, et à gauche, la forêt parsemée de quelques habitations.

Les falaises sont effectivement spectaculaires, faites de sable, parfois dur comme de la roche dont la couleur passe du jaune au noir en passant par de l’orangé et du marron. On s’amuse comme des petits fous sur cette dune.


Le lendemain, nous sommes déjà à Noosa. C’est un des endroits les plus branchés de la Sunshine Coast et effectivement il y a du touriste ! Par contre la Coast n’est pas vraiment Sunshine. Mais au moins il ne pleut pas.

Comme d’habitude nous choisissons de profiter de l’endroit à pied. Nous parcourons pour quelques heures le Noosa National Park. Un bout de jolie forêt très près du centre-ville perché sur un petit mont au-dessus de l'océan.On longe la côte et le chemin nous mène vers de superbes plages et points de vue. On a aussi eu la chance de revoir des baleines à bosse ! Magique. C’est super reposant de les observer avancer lentement avec grâce.


Après un petit passage au marché très sympa d’Eumundi où on goûte la meilleure bière au gingembre d'Australie (si, si), on se dirige vers les Glass House Mountains. Sur la route on s’arrête aux Mapelton Falls, c’est mignon mais sans plus… Sur le Lonely Planet ils indiquent qu’on peut s’y baigner mais c’est tout à fait faux. Ils aiment bien faire des blagues dans ce guide.

Les Glass House Mountains sont un massif montagneux comptant 16 sommets volcaniques dont le plus haut s’élève à …attention c’est impressionnant…556 mètres ! Eh oui, on est bien en Australie : un tas de collines est bel et bien un massif montagneux.

On passe notre première après-midi à grimper en haut du Mt Ngungun (qui ne veut pas dire « tu veux du goon ?*). Une très belle vue sur la Sunshine Coast et sur les autres sommets aux formes parfois mystérieuses. L'érosion a effet sculpté ses immenses ruines de lave.


Après une bonne nuit de sommeil et de nouvelles piqûres de moustique à collectionner, nous partons pour l’ascension du Mont Tibrogargan. Alors c’est aussi un petit mont mais qui ne se laisse pas grimper sans offrir quelques frayeurs. Il y a notamment un bon passage hyper raide où une corde n'aurait pas été de trop. Heureusement on a connu plus douloureux en Tasmanie alors on s’en tire plutôt bien. La vue est un peu moins sympa que la veille car le sommet n’offre pas de véritable grand spectacle dégagé.


Nous redescendons tous excités à l’idée d’aller boire une bière à Brisbane qui se trouve à moins de 80 bornes. C’est un point positif de la côte est, pas besoin de rouler des heures avant la prochaine étape ! Allé, c’est parti on va fêter mes 29 ans à Brisbane !

(*) Pour ceux qui ne connaissent pas le goon est le nom de la boisson la plus répandue chez les voyageurs, c’est un cubis de vin de basse qualité, souvent très basse même.



vendredi 25 novembre 2011

Tribulations dans la jungle tropicale

Mi-octobre...

A une grosse centaine de bornes de Cairns commence le Daintree National Park. Un gros tas de forêt tropicale se jetant dans l’océan par d’immenses plages de rêve. Bon, ça a l’air pas mal disons. L’endroit le plus connu du parc est la mini bourgade de Cap Tribulation.

Pour accéder jusque là, il faut traverser la Daintree River. Et pour ça tout le monde doit passer sur le ferry pour une traversée de …trois ou quatre minutes ! Il faut dire que l’endroit est assez reculé et surtout très très inondable. La Daintree River ça doit être quelque chose à voir pendant la saison humide.


Bref, on commence notre découverte du parc sous une chaleur…troptropicale ! Pour se mettre en jambe rien de telle qu’une bonne rando de 5 heures n’est-ce pas ?

On se lance vers le Mt Sorrow (traduction « peine/chagrin »), ce n’est pas sympa pour la montagne ce nom hein ?! Du coup elle se venge la montagne, et nous oblige à grimper sur un chemin très RAIDE pour quelques 600 mètres de dénivelés.


J’avoue j’ai eu du mal, du mal aux cuisses, du mal à respirer, du mal à ne pas me noyer dans mes fringues tellement j’ai transpiré ! Ah je comprends maintenant pourquoi, dans les films d’aventure, les personnages qui traversent la jungle tirent toujours la gueule !

Finalement j’ai survécu et j’ai vaincu la montagne en arrivant sur deux mètres carrés de plateforme métallique bardée de rambardes qui forme donc notre lookout d’arrivée..Mouuuais, c’est quoi cette arnaque ?!

Ils auraient pu foutre un banc quand même vu la grimpette qu’on vient de se taper ! Y a même pas un vieux caillou qui traîne pour reposer nos muscles. Et en plus, le temps est un peu couvert, donc hélas, la vue n’est pas vraiment accessible.


Heureusement, on avait rencontré quelques randonneurs en montant qui nous avaient appris qu’il y a un autre lookout un peu plus loin. Et à cet endroit nous avons pu enjoyer (du verbre franglais « enjoyer » signifiant aimer vachement) notre pique-nique en posant nos fesses sur les bosses rocailleuses de la montagne, comme des vrais randonneurs !

La redescente fut très appréciable comparée à l’aller. Et pour nous récompenser de ces exploits sportifs on s’était pris un super spot au camping du parc national. Un petit trou dans la forêt tropicale pour parquer le van à 100 mètres d’une plage de sable fin. Vraiment dommage que le temps soit gris mais le spectacle est quand même éblouissant !


Juste avant d’y aller on a fait un petit plouf rafraîchissant dans une piscine naturelle près du centre d’infos. Un des rares endroits sûrs pour faire trempette, garanti sans croco, sans méduse, et même sans sel !

Le lendemain, le temps ne s’est pas arrangé, ce serait même le contraire. On a eu droit à un petit avant-goût de la saison des pluies avec option tempête. Mais comme on est des touristes acharnés on s’est quand même lancés pour quelques petites balades histoire de profiter encore de la magie de la forêt et de la mangrove.


24 heures après, la région de Cairns avait connu le jour d’octobre le plus pluvieux de son histoire : 22 cm d’eau jetée du ciel sur le toit du van !

mercredi 23 novembre 2011

De Darwin à Cairns

Mi-octobre...
C’est les yeux et la tête encore remplis des sensations sauvages des parcs nationaux du Litchfield et des gorges de Katherine que nous déboulons enfin à Darwin, la capitale du Territoire du Nord. Le point le plus au nord et donc le plus tropical de notre voyage.

Une étape en effet marquée dans nos esprits, depuis le départ, comme étant un gros point d’interrogation, nous avons entendu tellement d’histoires, d’avis de voyageurs ou d’australiens.  Nous sommes censés y trouver une chaleur terrible, une culture aborigène et asiatique encore plus forte qu'ailleurs, les crocodiles ou autres insectes les plus féroces du continent et le pire : beaucoup de français ! Alors qu’en est-il ???

Première surprise, la température redescend, on passe de 40° à 33°, « cooool like a cucumber » ! 2ème surprise, la ville est vraiment petite en fait, mais est entourée de banlieues industrielles et résidentielles sans grand intérêt … niveau culture aborigène, rien de nouveau, des boutiques et des galeries d’art qui redorent le blason d’une culture représentée par des individus traînant (bourrés ou non) dans la rue. On pensait trouver une forêt tropicale luxuriante mais on a du voir ça dans un rêve, la région est toujours aussi aride …


Là où l’on ne fût pas étonnés, c’est qu’on ne peut effectivement pas se baigner dans la mer, non pas par ce qu’elle est trop chaude, mais à cause des méduses mortelles qui arrivent près des côtes entre novembre et mai. Ça suffit pour nous dissuader :o) On s’est tout de même baignés dans un bassin où les méduses sont filtrées, mais bon avec de l’eau à 30° c’est pas très agréable.

Alors Darwin c’est nul?? Ben non quand même pas :o) On a fait des trucs sympas comme une balade dans la mangrove, le musée d’art aborigène et d’histoires naturelles, le jardin botanique (une valeur sûre dans toutes les villes :o) Et bien sûr le superbe coucher de soleil d’un orange intense propre au Territoire du Nord.  On a aussi servi de figurants pour un photographe qui voulait des photos de gens qui ont chaud pour un article sur le chaud :o)


Bon voilà on ne va pas s’éterniser, on a 3000km à faire pour aller à Cairns et on n’est pas en avance.
Nous voilà donc partis pour un nouveau road trip de la mort par 40° à l’ombre dans un paysage plat et désolé !!! Tin tin tinnnnnnn !!

Nuit 1 : Et paf un kangourou ! ça devait arriver vu le nombre de spécimens qui s’amusent à traverser la route sans regarder la nuit … C’est la 2ème fois que ça nous arrive ( la 1ère à Exmouth ) mais cette fois, on roulait à 80 km/h … le marsupial s’est pris le coté de la voiture heureusement pour nous… pour lui on ne sait pas trop, il s’est relevé difficilement puis s’est enfui dans l’obscurité du bush australien. Pauvre bête … mais bon ça arrive … c’est un peu comme les lapins en France.

Day 2 : Le lendemain, on arrive entier à Mataranka pour aller profiter des sources d’eau tiède. Elles sont populaires pour la beauté du lieu et la transparence aux nuances vert turquoise de l’eau. Un vrai régal !!  A la première source, on peut admirer un univers magique sous la surface de l’eau en se laissant porter par le courant avec un masque et un tuba. J’y ai vu une tortue, trop cooool :o)


La 2ème source nous réserve quelques surprises,  on est vite interpellés par les petits cris et l’agitation qui règne dans la cîme des palmiers. Ce sont des chauves-souris géantes ( Flying fox) !!! Des milliers de batmans et de batgirls  qui font un bordel d’enfer !!  Le bassin aménagé est paradisiaque, on y traîne un moment en discutant du lieu avec les autres baigneurs en mode « tranquilmoukil ». Ensuite on va tester un 3ème spot de baignade dans une rivière non loin de là.

Eh Eh Eh, cachée dans l’eau, une créature aux dents aiguisées nous attend !!! A première vue,  la rivière ne nous inspire pas vraiment et les panneaux qui indiquent que la zone est « crocodile managed » ne nous rassurent pas trop. J’aperçois soudainement une queue de crocodile serpenter au milieu de l’eau !!! « Waaaa Claire, il a l’air gros !!! » criais-je. « Attends je vais l’attirer » répondit claire, elle descend les escaliers métalliques et clapota la surface de l’eau avec son pied.

Rien ne se passa pendant quelques secondes, puis je vis claire remonter de quelques pas et le fameux croco surgir de l’eau la gueule grande ouverte, prêt à manger de la Clairou !!! On cru un instant qu’il allait monter les escaliers mais il referma sa bouche d’un claquement sec dont je n’oublierai jamais le son puis reparti dans les profondeurs de sa cachette. WAAAAAAA quelle sensation !!! Et la Claire qui comme une gosse est toute contente de sa dose d’adrénaline,  est prête à y retourner. On ne le re-aperçu qu’une fois furtivement.  Le plein d’aventure est fait, on peut reprendre la route en étant excités comme des puces à l’idée de raconter ça aux copains et à la famille :o)


Day 3 : Aller après tous ces kilomètres, c’est le moment de la vidange ! Quelle mauvaise idée d’avoir fait ça au milieu de nulle part, loin de notre arrivée. En effet, après être repartie, la voiture chauffa un peu plus que d’habitude et l’on dû rouler vraiment lentement. Peut-être à cause du type d’huile que j’ai mis, enfin bref, dégoutés, on a encore 1500 bornes à faire et on n’a pas envie de les faire à 50 Km/h. J’ai fini par me transformer en « Gaëlo le bricolo » et j’ai bloqué le ventilo du radiateur pour qu’il tourne à fond tout le temps. Effet garanti, on peut rouler normalement et passer la frontière du Queensland. Notre dernier état à visiter !!! Megacool.

Day 4 : Rien, tout droit tout plat … puis on arrive enfin sur la côte Est. Un gros Mac Do pour fêter ça :o)


Day 5 : Retour à la civilisation, de l’essence pas chère et on capte le réseau téléphonique partout, DINGUE !!!

On arrive enfin à Cairns !!! Parfait juste à l’heure pour la ½ finale de rugby France-Wales. Une grosse bière et un bon match pour nous accueillir, Perfecto !
Fin du road trip, fiiiou ….



Petit tour de Cairns, ville vraiment tropicale cette fois-çi, entourée de forêts  tropicales humides et régulièrement ravagée par les cyclones. Les pubs y sont énormes et chouettes, parfait pour regarder le rugby :o) Il n’y a pas vraiment de plage praticable alors ils ont construit un lagon artificiel, sorte de piscine en plein air au milieu de la ville. Plutôt agréable.


Le jardin botanique est un avant-goût de la forêt qui règne dans les environs, magnifique, plein de palmiers en tout genre, des fleurs, des lianes et des moustiques tout droit sortis de Terminator 12. On a hâte de visiter les forêts du Daintree National Park plus au nord.

D’ailleurs c’est ce qu’on va faire. Une histoire à suivre dans notre prochain post ;)

mardi 22 novembre 2011

Attention danger !!!

La plupart d'entre vous connaissent deja l'histoire, on vous la racontera encore en details pour le plaisir ;-)

En attendant, voici la video de la bete.

(desole pour les accents mais c'est un clavier d'english)

dimanche 6 novembre 2011

Litchfield National Park

Autour du 10 octobre...

Dés le lendemain de notre virée en canoë nous voici dans le Litchfield National Park, l’un des plus connus du Territoire du Nord. Cascades, forêts et piscines naturelles nous attendent !


On est très impatients de se baigner car la chaleur est toujours aussi étouffante. Nous sommes en effet encore plus au Nord, tout près de Darwin. 40 degrés à l’ombre c’est terrible surtout avec une humidité aussi élevée !

Bref on ne va pas se plaindre non plus, car dès notre premier arrêt on se trempe les fesses dans l’eau fraîche en dégustant nos premières mangues. Eh oui, enfin nous arrivons à la saison des mangues, on va pouvoir se gaver de ce fruit si délicieux !


Le parc n’est pas très grand et un ou deux jours suffisent pour le visiter. On a vraiment apprécié toutes les étapes de notre court séjour. Des baignades dans les piscines naturelles, la détente avec comme berceuse le bruit des cascades !

Ce fût aussi l’occasion d’une première vraie balade dans la forêt tropicale. Et là on a pu admirer la grandeur des arbres et…des araignées. AAAAhhh !  Des bestioles démoniaques de la taille d’une main !
Les cascades les plus connues sont les Wangi Falls. Ce sont deux chutes d’eau dont la base est un énorme bassin entouré de jungle tropicale. C’est splendide, même avec les touristes.


On y retrouve le couple de suisse qu’on a connu à la ferme aux crocodiles de Wyndham, Annick et Micka. Du coup, on passera une excellente soirée en leur compagnie au camping du parc juste à quelques centaines de mètres de ces chutes sublimes.

Bien, pas besoin de raconter plus que ça, les photos parlent d’elles-mêmes !